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LE BAL DE SHIRLEY & DINO

Depuis 11 ans, les Estivales du canal proposent une programmation culturelle exigeante, audacieuse et généreuse.

Samedi 13 juillet à 20h30

Les Estivales du Canal - GRATUIT

JARDIN DE L'ABBAYE

LE BAL de SHIRLEY & DINO, POURQUOI CE SPECTACLE ?

Saltimbanques du music-hall, nous avons sillonné tout le pays, investi des centaines de salles de spectacle pour aller à la rencontre du public qui, conquis, nous suit et revient.

La fête, c’est notre grande passion !

NOUVEAU GENRE - NOUVEAUX LIEUX

Pour ce bal des pas de côté, il s’agit d’inventer un cadre qui multiplie les espaces et intègre le public à l’élan du spectacle. Alors, on ressort les tables du cabaret, on garde les tréteaux du théâtre pour dresser un dispositif scénique où comédiens et musiciens montent sur les planches et on dessine au milieu une piste de danse, parce que OUI ! on va danser…

Dans la salle, on plonge dans la magie de la guinguette. Guirlandes lumineuses et lampions en tissu, boule à tango. On sculpte avec la lumière chaleur et mouvement pour inviter à un renversement des rôles tout carnavalesque.

SUR LES PLANCHES - LE SPECTACLE

Shirley et Dino empruntent ici à M. Loyal, ailleurs aux meneurs de revues, troquent leurs oripeaux pour une multitude de costumes et embarquent les spectateurs dans un voyage burlesque sur des territoires et des styles musicaux variés.

SUR LA PISTE - L’ANTI-COURS DE DANSE

On n’est pas là pour apprendre à danser, mais pour s’essayer, se tordre le pied, s’emmêler, chanceler, se rattraper, trébucher, s’élancer, s’amuser. « Dis, Shirley, comment on danse le tango ? – Le tango ? Rien de plus simple : lent, lent, vite, vite, vite. – Et surtout, montre un profond mépris pour le sol ! »

De sketch absurde en quart d’heure musical loufoque, les spectateurs initiés à la danse sont invités à sortir de soi, à improviser, à danser, n’importe comment, mais tous ensemble, jeunes et moins jeunes, parce que la vie est la plus belle des fêtes ! Et puis, puisque « tout finit par des chansons », on fera aussi chanter le public, sans vocalises, juste pour le plaisir.

LA MUSIQUE

De la valse à la samba, du tango au rock’n’roll, de la bossa nova au disco, tout est visité … et revisité selon un principe de transformation stylistique des chansons. Dans ce bal carnavalesque, on perd ses repères musicaux : l’orchestre livre une version disco de « Ne me quitte pas », « C’est extra » est traduit en rumba et « J ’me voyais déjà en haut de l’affiche » se joue en tango. Ailleurs, on greffe les musiques populaires à un son de fanfare à la Bregovic. Les arrangements font entendre des échos qui soulignent les filiations et osent les mélanges les plus fantaisistes.

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